Les soins aquatiques figurent parmi les discussions assez impressionnantes dans le spa.biz. Le vif du sujet touche dans la majorité es cas sur le remboursement de la Sécurité sociale sur le traitement en soins aquatiques. Voici quelques points à savoir sur ces termes.
Ce qu’on entend par soin aquatique
Il est vari que le terme est assez vague puisqu’il regroupe plusieurs activités et plusieurs centre. Ce que vous devez savoir, c’est que leur base reste commune : l’eau. Quant à la pratique, c’est toute une autre paire de manche puisqu’elle pourrait être effectuée pour un but esthétique ou pour un traitement médical.
A cet effet, les instituts de beauté ou spa proposent parmi leur rituel des séances de relaxation dans un bain à remous en tenant compte du fait que l’eau est source de bien-être. Ce qui prime dans ces établissements c’est la détente et la relaxation des personnes souffrant de stress quotidien et qui désireraient prendre une bouffée d’oxygène pour se ressourcer.
Il y a aussi la cure thermale ou le thalassothérapie : si l’une utilise l’eau des thermes pour soigner, l’autre préconise l’eau de mer et ses dérivés. Leur objectif est de soigner toujours par cette eau bienfaisante mais dans la majorité des cas, une équipe médicale suivra le patient tout au long de sa cure. Il est à savoir que traitement durera 3 semaines. Le passage en centre thermal ou en thalassothérapie pourrait être prescrit par un médecin ou pour le simple plaisir d’y aller pour s’offrir quelques jours de bien-être.
L’intervention de la Sécu
Ila Sécu entre en jeu lorsque la cure a été prescrite par un médecin pour des fins médicaux car peuvent être traités en thalasso ou en centre thermale les douleurs articulaires, les troubles du sommeil ou les troubles psychosomatiques. Dans ce cas, la Sécu pourrait prendre en charge partiellement les frais du séjour.
Lorsque le traitement est fait de votre plein gré, il n’est pas de vos droits de déposer un dossier de demande de remboursement à la sécu compte tenu du fait qu’il n’y a pas eu prescription médicale. Quant au centre de beauté et de spa, la question n’a pas lieu d’être puisque la pratique est destinée pour des fins esthétiques.